« Derrière ce nom énigmatique (ou admettons qu’on puisse traduire « dance-floor » par « parquet ») se cache un fantasme de musiciens : jouer live, sans platine, une techno rugueuse digne d’un club berlinois. Batterie rectiligne, guitares anguleuses, électronique abrasive, basse massive. Rapprochement heureux du Collectif Coax et Carton Records, Parquet est une entreprise tribale, jubilatoire, mais aussi un hommage à l’univers des jeux vidéos addictifs des années 80. Pacman meets Jeff Mills. »